vendredi 22 septembre 2006

Toto Story ("Pumping Iron" by Mozinor)


Un T-Shirt malin...


Signé Rachel Plefger...

Virtua Tennis World Tour


La référence du jeu de tennis...



Un duel Federer/Roddick, ça ne vous rappelle rien ?



Y a rien de mieux qu'un petit service-volée...

Virtua Tennis est au tennis ce que PES est au football, c'est à dire ce qu'il se fait de mieux.
Moi j'adore le mode "Tour mondial" que je trouve vraiment très prenant. Malheureusement, après plus de 18 ans de carrière, je reste bloqué à la 2ème place... Un match seulement à gagner... Et j'y arrive pas :(

Techniques de drague

Les Lascars



Les Lascars - Jfais dla thai




Les Lascars - Playboy siouplai




Les Lascars - Baston de regards

jeudi 21 septembre 2006

Miami Vice


Elle envoie cette affiche...




Le trailer

J'ai tardé à aller voir Miami Vice au cinéma, mais je ne suis pas déçu : ça envoie très très gros (pour ceux qui aime les fusillades, les belles voitures et les gros hors-bords...). Collin Farell et Jamie Foxx (Oscar du meilleur acteur pour Ray) sont énormes et Michael Mann (Heat, Collateral) qui fut aussi producteur de la série, réussit des prouesses.

lundi 18 septembre 2006

Everybody’s Golf


Mon premier jeu PSP



Le design est en "Super Deformed"



La jouabilité n'est pas aussi déjantée qu'on pourrait le croire...

Un jeu bien sympatique, le premier que j'ai eu sur PSP.
Le but du jeu est de débloquer toutes sortes de personnages et d'accessoires.
Ainsi, on pourra modifier l'apparence de son joueur de la tête au pied : du ninja à la soubrette, tout est possible !

Bite It ("Beat It" by Mozinor)

dimanche 17 septembre 2006

Base Jump à la Défense



A la fin de la vidéo, on aperçoit la tour où je travaille à la Défense !!!

jeudi 14 septembre 2006

Roger l'invincible


Et de 9...

Qui arrêtera Roger Federer, auteur cette année d'un deuxième Petit Chelem et d'un troisième doublé Wimbledon-US Open d'affilé ?
Roger, t'es vraiment le meilleur!

lundi 11 septembre 2006

Caipirinha


Ingrédients (pour 1 personne) :

- 5 cl de cachaça (rhum brésilien)
- 1 citron vert
- 1 à 2 cuillères de cassonade
- 4 glaçons pilés

Préparation :

1/ Lavez le citron vert et coupez les deux extrémités.

2/ Coupez le citron en 8 ou 9 morceaux et retirez la partie blanche centrale responsable de l'amertume.

3/ Placez les morceaux dans le verre et versez une bonne cuillère à soupe de sucre.

4/ Ecrasez fermement le tout dans le verre avec le sucre en poudre jusqu'à l'extraction la plus complète possible du jus.

5/ Recouvrir le mélange citron-sucre d'une bonne couche de glace pilée, concassée ou glaçons simples (ras bord),

6/ Faire le niveau à la cachaça jusqu'à un doigt du bord. Ne pas rajouter de sucre après l'adjonction de la glace (le nouveau sucre ne se dissout plus).

7/ Mélanger legèrement avec un mélangeur et servir avec le mélangeur et une petite paille.

Accrobranche


Regardez-moi cette dégaine...



Mais qu'est-ce que je fous là-haut ?!?



Une "petite" tyrolienne pour le fun...

Hier, sortie "accrobranche" avec ma boîte et Danusa.
Après un petit voyage en car, nous arrivons à Milly la forêt où ont lieu les hostilités. Sur place, nous nous repartissons en équipes car certaines épreuves sont chronométrées et il y a des petits jeux entre les parcours, histoire de pimenter les débats.
La journée commence fort : nous devons escalader un arbre de 20m (au bas mot...) à mains nues. Je m'y colle, tout ça pour impressionner ma brune...
Après quelques mètres, je fais moins le malin. Je commence à avoir les bras et les jambes qui tremblent, mais je continue la petite grimpette jusqu'au au sommet, pas peu fier de moi :p
Puis nous enchainons les parcours vert, bleu et rouge, pour finir par le noir, le plus difficile. A plus de 15 m du sol, il faut enchainer les ponts, les sauts pendu à des lianes tel Tarzan et les tyroliennes. A chaque atelier, je ne suis pas loin de faire sur moi. Danusa non plus n'en mène pas large, en tout cas au début, ensuite elle enchaine les épreuves avec détermination, me laissant loin derrière, en train de lutter pour ma vie au milieu des éléments hostiles :'(
Mais après l'effort, le réconfort grâce à un petit pic-nic fort sympathique entre collègues.

Je pensais pas que l'accrobranche c'était aussi flippant : certaines épreuves foutent vraiment les boules. Mais ça vaut le coup. Le cadre est vraiment charmant...

vendredi 8 septembre 2006

La Feijoada


A déguster avec de la Caipirinha...

Ingrédients (pour 8 à 10 personnes) :

- 1 kg d'haricots noirs
- 1 kg de viande de boeuf séchée
- (250 g d'oreilles et de queues de porc)
- (2 pieds de porc)
- 500 g de saucisses de porc
- 2 à 3 saucisses fumées
- 600 g de côtes de porc ou de palette fumée
- 500 g de viande de porc salée (collet ou filet)
- 200 g de lard
- 1 kg de riz
- 10 feuilles de chou vert brésilien
- 1 kg de farine de manioc
- 4 oranges
- 1 bouquet de coriandre
- 1 piment rouge
- 1 tasse d'huile dolive
- quelques feuilles de laurier
- persil, 4 gousses d'ail, 4 oignons
- sel, beurre ou margarine

Préparation :

1/ La veille, hachez en cubes les viandes salées et faites tremper dans de l’eau froide; changez l’eau 6 ou 7 fois.

2/ Faites bouillir les viandes dans l’eau pour enlever l’excès de graisse.

3/ 5 h avant de servir au minimum, faites bouillir les haricots, la viande salée et les côtelettes dans l’eau, dans une grande marmite.

4/ Au fur et à mesure que l’eau se réduit, ajoutez un peu plus de l’eau bouillante et laissez cuire à feu doux pendant 3 h (couvercle fermé).

5/ Ajoutez les autres ingrédients salés.

6/ Quand les haricots commenceront à cuire, ajoutez les saucissons et les saucisses, coupés en tranches. Cuisinez jusqu’à ce que la sauce devienne épaisse.

7/ Ajoutez le persil, les feuilles de lauriers, la coriande et laissez cuire à feu doux.

Maintenant l'accompagnement :

8/ La farofa : dans une poêle, faites revenir le lard, l’ail, l’oignon. Puis faites frire un oeuf et la farine de manioc dans du beurre. Mélangez le tout.

9/ Préparez le riz (à la manière qu'il vous plaît)

10/ Coupez les feuilles de choux en petits morceaux et faites revenir dans une poêle.

11/ Epluchez et coupez les oranges en petits quartiers.

12/ N'oubliez pas la Caipirinha...

mercredi 6 septembre 2006

Week-end à Budapest


Le portail du Palais Royal



Vue panoramique sur Budapest



Les bains Rudas



La Place des Héros



La statue de L'Anonymus



Le Bastion des Pêcheurs



Le saint-roi Etienne



La basilique Saint-Etienne

Encore un petit week-end sympa en Europe de l'Est.
Sympa par la beauté des paysages et des monuments visités en tout cas.
Car on ne peut pas dire la sympathie soit un trait de caratère répandu chez le hongrois : les hongrois sont en effet en général aussi accueillants que des portes de prisons. Ainsi, attendez vous à vous faire agresser par des serveurs pressés lorsque vous prendrez commande au restaurant, ou bien par la receptionniste de l'hôtel a qui vous aurez eu l'outrecuisance de demander un petit renseignement... Il faut aussi savoir que lorsque vous traverserez au rouge (ou bien en dehors des clous), la réaction du hongrois sera d'accelerer, tout en klaxonnant plutôt que de ralentir : s'il arrive à vous percuter et c'est ce qu'il recherche, il sera dans son bon droit...
Deuxième constation, tant qu'on y est : ne vous attendez pas à croiser de magnifiques créatures à tous les coins de rue. Il n'y a pas plus de jolies filles qu'ailleurs. Je sais, un mythe s'effondre...

Ceci étant dit, Budapest est vraiment une ville superbe.
Notre hôtel était plutôt bien situé : nous logions au Radio Inn, près d'Andrassy Utca, dans le quartier des ambassades. Le métro étant au bout de la rue, en 10 min nous étions dans le centre de Pest, là où se croisent les 3 seules lignes de métro de la ville. Une bonne surprise cet hôtel (mise à part la gaité non feinte des receptionniste, qui pourrait s'apparenter à celle affichée par un pitbull ayant mal dormi, auquel vous auriez dérobé le petit nonosse...). Nous avions en effet un pur appartement de plus de 50 m2 avec WC, cuisine, buanderie, salon, et grande chambre. La classe... Tout ça pour pas grande chose (le billet + 3 nuits d'hôtel à 320 €)...

Budapest est séparée en 2 par le Danube : d'un côté on trouve Buda (avec la Citadelle, le Palais Royal, l'Eglise Mathias etc.), de l'autre, Pest (avec le Parlement, la basilique Saint-Etienne, etc.). En tout, il y a 6 quartiers interessants à visiter :
- à Buda : le mont Gellért, le quartier du Château, le Nord du Château
- à Pest : le quartier de Pest, le quartier du Parlement et Varosliget.
Ca nous faisait 2 quartiers par jour puisqu'on restait 3 jours à Budapest : plûtôt ambitieux comme programme.

On a donc commencé par le Palais Royal. A retenir : le portail sculpté et l'aigle Turul, du côté funiculaire, qui sont vraiment impressionnants.
Nous sommes ensuite descendus vers le mont Gellért, en nous arrêtons au Bains Rudas, pour nous prélasser dans ces bains somptueux, construits à l’époque Ottomane (XVème siècle). Ces bains se composent d'un bassin central de forme octogonale (eau à 29 °C), situé sous une coupole d’un diamètre de 10 m qui est soutenue par 8 colonnes, et de plusieurs petits bassins autour à des températures différentes (de 16 à 42 °C).
Les bains Rudas sont réservés strictement aux hommes. Vêtu d'une demi-serviette autour des hanches on peut errer librement de bassin en bassin, le tout dans une ambiance très 'Village People'. Non, sans rire, c'était vraiment très décontractant, et si nous n'avions pas eu notre visite à poursuivre, nous aurions pu rester là des heures.
Nous sommes donc partis en ballade sur le Mont Gellért. De là haut, on a une vue imprennable sur le Palais royal, le Danube et tout Pest. La Citadelle au sommet, avec son Monument de la Libération vaut vraiment la petite grimpette.
En descendant, nous nous sommes arrêtés à l'Eglise de la Grotte qui est creusée dans la roche et nous avons finis notre parcours au pied de l'Hôtel Gellert.
Cette fois-ci, nous ne nous sommes pas arrêtés pour prendre un bain, car il était trop tard mais le complexe thermal avait vraiment l'air magnifique : la prochaine fois que je reviens à Budapest, il faut absolument que j'y fasse un tour...
Le soir, il nous arrive une histoire assez cocasse : à la recherche d'un restaurant dans le centre ville, nous sommes abordés par 2 jeunes filles. Jusque là rien, d'inhabituel :) Celles-ci sont à la recherche d'un club "où ils passent de la musique live". Je leur file ma carte (de Budapest) pour qu'elles cherchent la rue : elles sont croates, de passage en Hongrie pour une compétition d'escrime. Nous, on en a rien à foutre, on veut juste manger un bon goulash, mais c'est "36 15 My Life" qui commence... Elles nous demandent ensuite ce qu'on était en train de chercher quand elles nous ont abordés. On leur répond "un resto". Du coup elles nous disent qu'elles en connaissent un très bien, pas loin d'ici, qui fait de la cuisine hongroise traditionnelle. Nous, on se dit "Bingo" et elles nous proposent donc de nous y conduire, et que de toute façon elles, elles ont déjà mangé à l'Hôtel. On accepte donc de bon coeur et effectivement, le restaurant se trouve dans la rue adjacente... Il s'agit du "Galaxy" (ou un truc comme ça) : resto, bar, night club, live music... Je trouve ça quand même bizarre, mais bon... On rentre quand même. Dedans, on croise une serveuse en robe assez transparente avec le string bien en vue : toutes les alarmes commencent à clignoter. On s'assoit. Les demoiselles s'assoient aussi. Ok... Ca commence à tourner au vinaigre toute cette histoire, mais bon, on va pas leur dire de dégager non plus... On regarde la carte : les plats sont bien hongrois et les prix plus que correct. La serveuse commence à s'impatienter parce que nous hésitons sur les plats à commander : c'est bien une hongroise... Elle nous dit qu'elle n'a pas que ça à foutre etc. (alors que franchement , y a pas foule dans le resto...). Elle nous demande ensuite si l'on veut boire quelque chose, ce que nous avaient aussi demandé nos nouvelles "amies". Et là, surprise : la bière doit être à 20 €, le coca aussi etc. On dit donc qu'on ne prendra rien, mais là serveuse commence vraiment à s'enerver. Elle nous dit que si on ne boit rien, il faut partir !!! La "croate" nous suggère alors de prendre une bouteille de vin... A 150 €, non merci ! C'est à ce moment là que la serveuse commence à parler à 10 000 à l'heure à notre "croate" qui semble parfaitement comprendre le hongrois bizarrement. Elle nous invite alors à partir, mais c'était pas la peine de nous le suggérer, c'était déjà notre intention... Dehors, on les laisse sur place, super vénère, et on va bouffer au Burger King.

Le lendemain, nous restons dans notre quartier : direction Varosliget ("le Bois de Ville"). À l'entrée se trouve la place Hösök (la "place de héros") avec son "monument du Millénaire" qui célébrait en 1896 le millième anniversaire de la conquête du pays par les Magyars.
Autour de l’imposante colonne (au sommet de laquelle se trouve une statue de l'archange Gabriel), sont regroupés, en magnifiques et fiers barbares sur leurs montures, des conquérants Magyars dont le prince Arpad, chef des sept tribus magyars qui envahirent en 895 le bassin des Carpates : trop la classe !
Derrière la colonne on trouve aussi tous les personnages historiques les plus importants du pays parmi lesquels Saint-Etienne le premier roi chrétien de Hongrie, couronné en 1001 qui a lui aussi trop la classe.
De part et d'autre de la place, deux musées (le Musée des Beaux-arts et Musée) mais bon je ne peux pas vous en dire plus : on n'y est pas rentré...
Ensuite nous avons visité le parc et le château Vajdahunyad. A noter : une pure statue de "l'Anonymus" qui en jette trop...
Pendant que mon acolyte se faisait le zoo de Budapest (toujours dans les bois), moi je suis allé aux bains Széchenyi (il y a aussi une fête foraine dans ces bois) : il s'agit d'un établissement thermal populaire et familial, le plus grand d'Europe, fondé en 1913. On y trouve de nombreux bassins à des températures différentes, des hammams et des saunas. J'ai particulièrement aimé les piscines en exterieur : l'architecture y est vraiment splendide.
Le soir, nous sommes allé sur l'Ile Marguerite afin de boire un verre à la "plage" Copa Cabana, mais le bar n'ouvrait qu'à 22h.
Du coup nous sommes repartis chez nous.

Le lendemain, nous sommes allés déjeuner dans un restaurant qui donnait sur le Danube, face au Parlement.
Puis nous avons visité le Bastion des Pêcheurs qui offre lui aussi une vue magnifique sur Budapest. On y trouve la très belle Statue équestre de saint-Étienne (toujours autant la classe ce brave Etienne...) et l'Eglise Saint Mathias aux tuiles polychromes : à ne louper sous aucun pretexte !!!
Ensuite nous sommes retournés à Pest, pour aller voir le Parlement d'un peu plus près et nous avons terminé les visites par la très splendide Basilique saint-Etienne, un must.
Nous ne pouvions pas repartir sans prendre un petit verre sur le Danube, attablés sur le pont d'une péniche : ce fut chose faite.
Il ne nous restait plus qu'à reprendre l'avion pour regagner Paris, ce qui ne fut pas une mince affaire : après avoir été repoussé une première fois (juste avant le début du séjour), notre vol a eu 2 heures de retard. Nous sommes donc arrivés à Roissy vers 1h30 et chez moi aux alentours de 2h30 du matin (soit le lundi !%?$§£§).

La tour Eiffel


Vue du 2ème étage

Jeudi dernier je suis monté sur la tour Eiffel avec Danusa : il faisait très beau et bizarrement, il n'y avait pas beaucoup de monde... Une menace terroriste peut-être, Pierre 'Jack Bauer' Tuffigo ?
Pour commencer, nous montons au 2ème étage. De là-haut, la vue est exceptionnelle : on peut voir tous les quartiers de Paris, les monuments éclairés, la Seine, le coucher de soleil, etc. et les flashs n'arrêtent pas de crépiter depuis le champ de Mars : on a l'impression d'être des stars photographiées au balcon d'un hôtel. C'est très drôle !
Après avoir fait le tour du deuxième étage, nous faisons la queue pour prendre le 2ème ascenseur et nous montons au sommet.
Cette montée est la plus impressionnante, surtout pour moi qui ai un peu le vertige... En haut, cela fait un peu moins d'effet que dans l'ascenseur (peut-être parce qu'on ne voit pas directement sous ses pieds) mais cela reste tout de même assez impressionant.
La vue est splendide au sommet. Par rapport au 2ème étage, il n'y a pas vraiment une grande différence mais en tout cas, on peut se dire qu'on est tout en haut de la tour Eiffel et ça, ça change tout !

En conclusion, l'ascension de la "Demoiselle de fer" vaut vraiment le coup. Ce n'est pas pour rien qu'il s'agit du monument payant le plus visité au monde (11 € seulement pour grimper tout en haut)... Allez-y !