mardi 27 mai 2008

Mataba


Le plat de mon enfance...



Ca n'a pas l'air comme ça, mais c'est très bon !


Ingrédients (pour 6 personnes) :

brèdes de manioc
5 cocos
2 oignons
2 gousses d'ail
piments
poisson frit (mérou par exemple)

Préparation :

* Pour préparer les brèdes de manioc, il faut les cueillir puis les enlever de leurs branches et les piler dans un mortier.
* Epluchez et émincez l'oignon. Epluchez les gousses d'ail. Ajoutez-les dans le mortier avec les piments. Ecrasez bien le tout.
* Râpez les noix de coco et pressez la pulpe pour obtenir le lait de coco.
* Mettez-le dans une marmite et faites-le bouillir. Ajoutez un peu de sel.
* Ajoutez les brèdes de manioc écrasées.
* Laissez au feu jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de liquide (au moins 4 h).
* Servez avec du riz et du rougail

lundi 26 mai 2008

Ginga


C'est marrant comme notre esprit peut être sélectif. Je me rappelle que quand mon cousin était au Japon, j'avais l'impression que l'on parlait tout le temps du Japon (à la télé, dans les journaux, etc.). Et ben, c'est pareil pour le Brésil.
Ce week-end, j'ai eu l'impression qu'on ne parlait que du Brésil : la dernière de Kuerten à Roland, la pole de Massa au Grand Prix de Monte-Carlo, etc.
On est aussi allé au Festival du Cinéma brésilien de Paris voir un documentaire très sympa appelé 'Ginga' : à travers 10 portraits de joueurs et de joueuses de tous âges et de tous horizons, on en apprend un peu plus sur cette habilité qu'auraient les Brésiliens à bouger leur corps de manière souple (capoeira, samba), et qu'ils ont transposé dans le football, faisant d'eux les meilleurs joueurs du monde.

mercredi 21 mai 2008

Mayotte II : le retour

Jour 0-1 : Arrivée à Mayotte

L'atterrissage sur le lagon est toujours aussi magnifique. 1 taxi et 1 barge plus loin, je suis enfin à la maison, après presque 1 tour de cadran passé dans les transports et salles d'embarquement.
Pour bien commencer le séjour, et malgré la fatigue du voyage, nous allons quand même à la plage, en fin d'après midi à Trévani. Il fait très beau. La semaine s'annonce sous les meilleurs auspices.


Jour 2 : Balade dans le sud

Arrêt tout d'abord au marché de Coconi. C'est un petit marché d'artisanat local avec quelques produits du terroir. J'y vais de mon coco-boire. Nous nous arrêtons ensuite pour acheter du poulet braisé et du manioc pour pique niquer sur la plage de l'écomusée. En plein repas, une colonie de makis vient nous voir. Même si ce n'est pas bien d'après Danusa, je leur donne à manger des petits morceaux de mandarine.
Ils m'attrapent la main et me lèchent ma paume quand y a plus de mandarine, c'est très mignon. Il y en a même un qu'essaye de me becqueter le pouce !
Ces makis sont très beaux avec des pelages différents + ou - roux. Et ils sont de moins en moins farouches, je trouve : i1 vient même un qui descend de son arbre pour venir sur la plage et il se dresse comme un chien pour manger les morceaux que je lui tends. Incroyable ! Le reste de la journée est un mélange de farniente et de baignade. C'est bon d'être en vacances !


- Jour 3 : lac Dziani

Nous prenons la barge avec la voiture pour nous rendre sur la petite terre pour une marche autour du lac Dziani. Il s'agit d'un ancien volcan qui a accumulé l'eau de pluie. On marche donc autour du cratère en compagnie des zébus, des cardinaux, et des pailles en queue. L’eau est très verte. C’est magnifique ! Sur la fin, on voit même un avion de la métropole atterrir sur l'île, c'est toujours impressionnant. Nous partons ensuite pique niquer sur une des plages de Moya, dans la première crique, plus exactement.Il y a pleins de traces de tortues sur la plage et pleins de trous de pontes (frais de la nuit ?). La 2ème crique est encore plus magnifique. Presque entièrement fermée (invisible de la côte comme dirait Barbe Rouge), une eau vert émeraude ce jour là et un petit coin mangrove. Là aussi pleins de trous de ponte... Et pleins de têtes de tortues qui émerge ! J'emprunte 1 masque pour aller voir ça de plus près. Il y a un herbier dans cette crique, pas étonnant que les tortues la squattent !


- jour 4 : plongée dans la passe en S

Il s'agissait d'une ancienne rivière avant que l'île ne s'enfonce dans la mer. On distingue toujours le lit de cette rivière, en forme de S. Le paysage est magnifique. Grand beau temps. Et beaucoup de tortues de la passe, posée sur le corail (elles descendent dans la passe à marée basse). Superbe plongée en tout cas avec pleins de mérous (des rouges à pois bleus, des loches rayon de miel etc.), les limaces, des énormes perroquets et des bancs de balistes et de nasos. J'ai particulièrement aimé une patate très poissonneuse. On y a vu un poisson globe énorme et mes parents un requin pointes blanches (en pmt, le bad !). J’ai aussi suivi une petite tortue le long du platier, qui avait l'air complètement désorientées. Excellente première plongée en tout cas.
En fin d'après-midi, on est allé à la plage de Trévani après une petite sieste. On a vu des makis et des roussettes comme d'hab’, et surtout d'énormes araignées !!! Grosses comme la main, beurk !


- Jour 5 : U.L.M.

Génial ! Direction l'aéroclub de Dapani. J'ai opté pour le tour "Sud Sauvage". Mon pilote s'appelle Franck et l'ulm ressemble à un petit avion. Après avoir mis le casque pour communiquer entre nous et avec les tours de contrôle, nous décollons. Ca parait tout simple à manier et les sensations sont excellentes. Et bien sûr le paysage magique. La marée est basse avec l’un des plus forts coefficients de l année. Juste après le décollage, nous assistons à 1 chasse. Nous survolons ensuite la barrière de corail en faisant le tour du sud de l île (N’Gouja, Sada,etc.). Puis nous traversons l'île dans la largeur au niveau du mont Combani pour filer vers la passe en S. A gauche nous pouvons observer Mamoudzou et la Petite Terre avec le lac Dziani. La passe en S est encore plus belle vue du ciel. Les coraux sont bien apparents. Nous survolons une deuxième passe puis l'îlot Bandrélé et l'îlot blanc de Saziley pour finir par un petit tour autour du Choungi et un atterrissage en douceur sur la piste de Dapani (mais impressionnant quand même pour un néophyte tel que moi!).


Remis de mes émotions, nous partons direction Bandrélé pour déjeuner au pied d'un gros Baobab. Nous louons ensuite un canoë et nous partons avec mon père vers l'îlot de Bandrélé. Après 30 min d'une traversée physique pendant laquelle nous croisons une école de voile (vision assez cocasse d'une dizaine d'optimiste sans voile remplis de petits jeunes, tirés en file indienne par un zodiac rouge), nous arrivons à proximité de cet îlot paradisiaque devant lequel stationne un joli voilier. L'eau est turquoise et transparente (on distingue d'ailleurs de grosses patates qui nous font de l'oeil). C'est pour cela qu'on décide de jeter un coup oeil sur le tombant. Je tends donc mes Ray Ban à mon père ainsi que mon chapeau, pour enfiler mon masque et plonger la tête dans l'eau. J'attache bien le masque car je me souviens qu'il y a presque 25 ans, âgé de 2-3 ans, j'ai fait la même chose sans attacher le masque qui a terminé sa vie au fond du lagon. Cette opération fait un peu tanguer le canoë du coup je me redresse et remet mon chapeau (le soleil tape) ! C'est là que j'entends un petit bruit métallique et mon père a qui j'ai repris le chapeau sans l'avoir consulté s'écrit "Les lunettes !". En effet, il les avait calées au fond du chapeau ! Et là c'est le drame. On fouille un peu le canoë, mais il faut se rendre à l'évidence : cette fois ci ce n'est pas mon masque qui gît au fond du lagon, ce sont mes lunettes à 120 € ! Après un rapide coup d'oeil sur les fonds mon père dit qu'il a repéré les fonds et qu'on va accoster le canoë sur la plage et revenir sur les lieux avec palmes, masque et tuba. C'est ce que l'on fait. Sauf que je pète la lanière de mon masque ! Ca s'est fait ! Et surtout, rien ne ressemble plus a une patate qu'une autre patate. Donc nous voilà inspectant les fonds (il y a 7-8 m d'eau qd même) à la recherche d'une paire de solaires, autant dire qu'on cherche une aiguille dans une botte de foin.
Mais miracle, au bout de 20 min de recherche, alors que j'allais abandonner j'aperçois mes lunettes par 7 m de fond et je plonge les récupérer. Cette magnifique journée peut continuer. Nous nous remettons donc de nos émotions sur l'une des superbes plages de l'îlot avec vue sur le Choungi et Saziley (avec son relief en forme de tête de crocodile). Puis nous faisons le tour de l'île en canoë a la recherche d'une autre plage déserte. Nous nous établissons sur ce qui était "notre" plage il y a presque 25 ans. Nous y allions souvent en zodiac y passer la journée. Celle là et pas une autre car elle a la particularité de posséder une petite grosse garantissant de l'ombre toute la journée. Après avoir laissé le canoë sur la plage et nos affaires au frais dans la grotte nous allons parcourir le tombant en pmt. Lorsque nous revenons, la marée a presque atteint le kayak ! Nous terminons le tour de l'îlot puis nous retournons à la plage de Bandrélé non sans avoir croisé une tortue sur la route. Le soir grosse coupure de courant dans le quartier qui nous oblige à aller dîner sur le port, ce qui ne fut pas de tout repos.


- Jour 6 : Ascension du Choungi

Les conditions sont optimales : temps anticyclonique et marée très basse pour les couleurs du lagon vu d'en haut. L'ascension n'est pas très longue. Une quarantaine de minute, mais elle est physique sur la montée (c'est raide) et relativement dangereuse, surtout sur la fin, où l'on est presque en mode 'escalade'. Sur le chemin, 2 anecdotes. Une rencontre avec des makis, mais ça, c'est quasiment banal maintenant, et surtout, votre serviteur peut se vanter d'avoir sauvé une vie. En effet, un jeune groupe de réunionnais nous croise et vlati pas qu'une des filles trébuche littéralement devant nous, entamant une prodigieuse culbute avant, d'énormes blocs de pierres prêts à la réceptionner 10 mètres plus bas. La chute aurait été fatale si nous ne l'avions pas retenue alors qu'elle avait déjà la tête en bas ! Ces jeunes, alors...
Nous parvenons enfin au sommet. La vue aérienne sur l'île est à couper le souffle. Elle n'a rien à envier à celle de l'ulm, sauf, qu'elle plus statique...
On distingue tout le sud sauvage : la langue de terre vers l'îlot M'Bouini, la tête de croco et l'îlot de sable blanc de Saziley, N'Gouga, la double barrière, etc. et on a aussi une très jolie vue vers le nord de l'île qui se dessine tel un gigantesque l'hippocampe. Une dernière photo prouvant que je suis surdoué ("sur Douai") puis nous redescendons en en marche arrière comme sur une échelle en nous accrochant aux racines (mine de rien c'est super solide !).
Sur le chemin du retour, mon père découvre un endormi (caméléon), qui nous occupe bien quelques dizaines de minute avec sa sacré bouille ainsi que quelques makis.
Nous partons ensuite vers N'Gouja. Sur le parking du Jardin Maoré, nous croisons un groupe de makis dont 3 sont en train de dormir littéralement enchevêtrés. La marée est encore basse et donc les couleurs du lagon magnifique. Nous pique niquons à côté du ponton et de son célèbre faré. L'eau est très claire : on peut voir les tortues qui peuplent l'herbier du Jardin Maoré. Je discute avec Katia, qui justement fait une thèse sur l'interaction entre les tortues et l'herbier. Puis nous faisons un peu de pmt sur le tombant. Nous croisons bien sûr des tortues mais surtout un magnifique mérou royal, avec des belles selles et une tête et une nageoire caudale bien jaune. Du tombant, on a une très belle vue sur le Choungi totalement dépourvu de nuage : le temps est vraiment magnifique. Nous nous séchons sous les gros baobabs de la plage puis nous retournons sur Mamoudzou pour manger quelques brochettes et quelques mabawas (sortes de chicken wings) sous le ciel étoilé.


- Jour 7 : 2ème plongée à la passe en S + Soulou + Mont Combani

A signaler une très grosse loche rayon de miel et 2 grosses loches noires tigrées de blanc. On a fait pas mal de remontée de banc de sable. C'était un peu surprenant, mais pas désagréable. J'ai revu une tortue posée sur une patate. Après la plongée, j'ai fait un peu de pmt vite fait, aux milieux de ces coraux aux couleurs sublimes. Puis nous sommes reparties au milieu des tortues en train de prendre leur respiration (la marée commençait à descendre, donc les tortues à s'activer). Max, de MaxouDive m'a confirmé ce que m'avait dit le pilote de l'ulm, soit que 10 auparavant, 40 cachalots étaient venus dans la passe "faire joujou". La DAF avait même mis son bateau en travers de la passe pour les empêcher de rentrer dans le lagon, car ces grosses bêtes peuvent être assez dangereuses. Vous imaginez : 40 cachalots. Ca devait être impressionnant !
L'après midi nous sommes partis en direction de Combani. Nous avons fait un stop pour aller à la cascade de Soulou : après une petite marche au milieu des bananiers, des orangers et des sensitives (et des cris de maquis), on traverse une bambouseraie (de bambous géants), on descend vers une plage sur laquelle tombe une très jolie cascade (NB: très beau maki sur 1 arbre près de la cascade). J'ai adoré ce petit coin et j'y aurais bien pris une petite douche si j'avais eu une serviette. Nous montons ensuite au mont Combani pour aller prendre un verre dans un très joli petit "hôtel" tenu par une ancienne prof de math. On y a une vue imprenable sur la baie de Mamoudzou et sur Petite Terre. Les bungalows sont en fait des petites cases en bambou ou de véritables bangas très pittoresque. L'autre point fort de l'hôtel est son jardin magnifique. On y trouve tout ce qui pousse à Mayotte : ylang-ylang, oiseaux du paradis, vanille, carambolier, roses de porcelaine etc. J'y passerai absolument une nuit la prochaine fois que je reviens avec Danusa !


- Jour 8 : Rando jet

Un séjour à Mayotte ne serait pas complet sans une petite rando jet ski ! Départ donc de la plage de Trévani direction la barrière de corail. Petit slalom dans la barrière (mais moins longtemps que la dernière fois) puis direction l'îlot blanc de M'Tsamboro. Quelle splendeur. J'adore ce coin là !!! Malheureusement, ou heureusement, il y a pas mal de monde ce jour là, du coup on poursuit la rando en faisant le tour de M'Tsamboro et en allant vers un autre îlot blanc au nord. L'eau est cristalline, les fonds magnifiques. Après avoir amarré les jets, on fait un peu de pmt avec mon père, le temps d'apercevoir 2 gros mérous dont 1 bleu à queue jaune et une énorme loche couleur sable. Puis nous pique niquons sur l'îlot, admirant la vue sur le côté ouest de l'île. Puis c'est le retour (en trombe) vers Trévani (avec des pointes à 80 km/h) où nous nous reposons quelque peu, le temps de siroter un coca face à la mer.
Le soir, petite marche à la pointe Mahabou (makis, encore !).


- jour 9 : l'îlot blanc Saziley

Départ en barque de pêcheur de M'Tsamoudou direction l'îlot blanc du sud en face de la tête de croco.
Quel paysage de rêve : sable blanc, eau turquoise, vue magnifique sur Mayotte (tête croco + Choungi), temps anticyclonique : : c'est tout simplement paradisiaque.
En pmt, nous effectuons une petite explo autour de l'îlot. A noter un énorme mérou royal ! Il a y a pas mal de grosses patates, mais il faut palmer assez loin de l'îlot.
Après ce petit avant goût du paradis nous partons en direction d'une des plages de Saziley pour passer le reste de l'après midi. Nous pique niquons au milieu des traces de pontes des tortues. Puis nous visitons le tombant. Je dois dire que c'est le plus beau tombant de l'île que j'ai vu pour l'instant : grosses patates, reliefs ss marins très variés (arches, etc.), faune et flore exceptionnelle. Nous observons 2 tortues posées chacune sur leur patate, puis un peu plus loin une énorme langouste (que l'on voit tout en entier) sous une espèce de casque de corail, des gros pyjamas et des gatrins tachetés, ainsi qu'un magnifique poisson coffre bleu et jaune. Il y a aussi d'énormes perroquets des rougets, des chirurgiens, des nasos, et des mérous bien sûr. On voit aussi pas mal de bénitiers et des bancs de mulets et de nasos.
Génial !


- jour 10 : le chemin des Baobabs

Départ en randonnée de M'Tsamoudou. Nous longeons la tête de crocodile que nous traversons au niveau du cou pour rejoindre 2-3 plages de l'autre côté. Le chemin est bordé de gros baobabs comme son nom l'indique. Sur toutes les plages que nous traversons, il y a des traces fraîches de pontes de tortues. Arrivé sur la dernière plage, mes sens en éveil sont alertés par des cuicuis : il s'agit de 2 martins-pêcheurs posés sur un rocher à 1 m de moi ! Là encore, il y a des traces de pontes, mais surtout des traces d'éclosions récentes, datant sans aucun doute de la marée haute précédente soit à peine 5-6 heures ! Dégoûté ! Après le pique-nique, on part avec mon père et un collègue à lui sur le tombant. Au moins aussi beau que la veille, voire plus encore, mais il est vrai que c'est le même coin (Saziley). Il y a pleins de patates, des crevasses, des cheminées, des arches. On y voit des carangues, de gros nasos, 2 gros balistes, des bancs de vivaneaux rayés jaunes, pleins de bancs, en fait de différents poissons. Il y a aussi un poisson coffre noir à points blancs, un poisson coffre comme la veille bleu et jaune, et même un poisson porc-épic ! Il y avait aussi pas mal de pyjamas, de mérous etc. Pour finir, on est tombé sur une rascasse volante royale. Après quelques heures de farniente, nous avons pris le chemin du retour, parsemé de baobabs. Nous avons croisé un beau héron sur une plage et beaucoup de petits oiseaux vert jaune (je suis nul en oiseaux) - et quelques makis, faut-il le préciser ?




- jour 11-12 : home sweet home

Un peu le cauchemar pour rentrer quand même... Je suis parti de chez mes parents à 13 heures (heure française) pour arriver au boulot vers 11 h (presque 24 h dans différents transports, et autres embouteillages…). Les ennuis avaient commencé à l’aéroport : l'informatique était en carafe, du coup l'enregistrement s'est effectué manuellement...
On a donc eu pas mal de retard mais quelle surprise à la Réunion de découvrir que mon hôtesse de l'air était la copine d'un de mes meilleurs amis de la Réunion, que je connaissais bien aussi ! Le monde est petit !

Pour finir ce long billet, je ne remercierai jamais assez mes parents pour ces vacances formidables ! J'espère revenir encore une fois, avec Danusa cette fois-ci, mais ça risque d'être tendu !