lundi 28 août 2006

Pique-Nique au Champ de Mars


Pique-Nique avec Danusa et des amis Brésiliens



La Tour Eiffel



J'suis trop un artiste...

YO !


Etienne et Olivier



YO !


Déjeuner dans un restaurant japonais à la Défense, avec mon frère et un copain, Etienne.
C'est un "kaitenzushi", c'est à dire un restaurant dans lequel les plats (sushis, etc.) défilent sur un tapis roulant... Très amusant !

lundi 21 août 2006

Le baptême d'Aliénor


L'anse de Rospico



La star du week-end

Ce week-end, c'etait le bapteme de ma nièce, Aliénor, en Bretagne.
Nous sommes arrivés le samedi soir avec mon frère et mes parents, pour prendre possession de nos pénates, à Rospico, une anse située pas très loin de la maison des beaux-parents de mon grand frère, à Kerascoet.
L'hôtel où nous logions était situé dans l'anse, nous avions donc vue sur la mer et sur la plage. Un endroit vraiment magnifique.
Le soir nous sommes allé dîné à Kerascoet, où nous avons vu la reine du week-end, Aliénor, presque 9 mois (elle est née le 1er janvier 2006....) et franchement (et c'est pas parce que c'est ma nièce...), je l'ai trouvée très belle , avec ses grands yeux bleus comme des billes...
Ensuite, nous abons bu un ptit rhum avec mon grand frère et son pote Karl, sur les marches qui descendent depuis notre chambre-studio vers la mer, avec la brise marine dans les cheveux et le ciel étoilé au dessus de nos tête (je fais mon JD là).
Le lendemain, petit-dej face à la mer, puis direction l'Eglise de Nevez pour le baptème d'Alienor.
Ensuite, retour à Kerascoet pour un repas gargantuesque. Champagne, petits fours, cochon de lait rôti, que le traiteur a amené un entier et qu'elle a découpé devant nous.C'etait super bon ! Les desserts aussi.
Comme d'habitude tout a été parfait. Un week-end vraiment très sympathique.

vendredi 18 août 2006

Poissons de la Mer Rouge


Les beaux petits poissons...



Attention, il y a aussi du squale...


Specimens que l'on peut observer à Djibouti (et pour certains, à la Réunion)...

Mon nom est Tsotsi


L'affiche du film



Gorille, Tsotsi, Boucher et Boston



Tsotsi et le gamin


Hier je suis allé voir "Mon nom est Tsotsi" au cinéma. J'ai vraiment adoré ce film qui raconte l'histoire d'un jeune homme des bidonvilles de Johannesburg (Afrique du Sud), se faisant appeler "Tsotsi" c'est-à-dire "voyou", "gangster" dans le jargon des ghettos, et qui à la suite d'un vol de voiture, se retrouve avec un bébé sur les bras.
On passe par toutes les émotions (colère, tristesse, compassion, rire etc.) et toutes les couleurs au cours de ce film, qui vaut vraiment la peine d'être vu.
Les acteurs, hommes et femmes, sont tous remarquables, avec une mention spéciale à l'interprète principal du film, Presley Chweneyagae, qui est tout simplement énorme.

jeudi 17 août 2006

Happy Planet Index


La carte du monde des gens (mal)heureux


Qui a dit que les aventuriers (?!?) de Koh Lanta, les Colombiens, ou les Cubains étaient à plaindre ?!?!?!
D'après un classement publié à Londres sur l'impact des pays sur l'environnement et leur bien-être, l'île de Vanuatu, la Colombie et Cuba se situent en effet en tête du classement, tandis que la France et la Grande-Bretagne sont en bas de la liste.
Un centre d'études, la New Economics Foundation (NEF), a en effet composé un index "Planète Heureuse" qui permet de classer 178 pays en comparant leur consommation de ressources naturelles, leur espérance de vie et leur degré de bonheur.
Derrière la minuscule île du Vanuatu, dans le Pacifique, première du classement, les mieux placés sont les Etats d'Amérique Centrale: Colombie 2e, Costa Rica 3e, Panama 5e, Cuba 6e, Honduras 7e, Guatemala 8e.
En comparaison, les performances des pays du G8 (les plus industrialisés) sont médiocres: la Grande-Bretagne arrive en 108ème position, la France 129ème et les Etats-Unis 150èmes. De manière général, il ne fait pas non plus bon vivre en Afrique...
Parmi les plus mal classés, la Russie (172), l'Ukraine (174) et le Zimbabwe, bon dernier.
Andrew Simms, le director de la NEF reconnaît que "le classement des pays peut avoir l'air surprenant" mais que l'index "Planète Heureuse" permet de mesurer le succès ou l'échec des pays à offrir à leurs citoyens une vie agréable, tout en respectant l'environnement".
Moi je trouve qu'en France, on vit plutôt bien (on est Vice Champions du Monde, oui ou merde ?)
Je trouve aussi que le classement FIFA est plus révélateur : Brésil, Italie, Argentine et France en tête !
Quand l'équipe du Vanuatu aura une étoile sur le maillot, il pourront l'ouvrir...

Mafé de poulet


Le Mafé se mange avec les mains, dans un plat commun


Voici la recette du poulet aux arachides ou mafé de poulet (ou encore cari Dakatine), un petit plat sénégalais préparé aussi dans d'autres pays d'Afrique de l'Ouest.

Ingrédients pour préparer le mafé de poulet :

- 500 à 750 grammes de poulet (on peut aussi utiliser de l'agneau, du mouton ou du boeuf).
- Un verre (25 cl.) de beurre de cacahuètes non sucré.
- Deux à quatre tomates découpées en dés.
- Au choix, un ou plusieurs de ces légumes découpés en petits morceaux : chou, carotte, aubergine, pomme de terre...
- Un à deux oignons finement hachés.
- Quelques cuillèrées à soupe d'huile pour faire sauter la viande et les oignons.
- Deux cuillères à soupe de concentré de tomates ou une boîte de sauce tomate.
- Sel, poivre.
- Piment frais.
- Un à deux verres d'eau ou de bouillon.

Préparation : 1h30

1/ Faire sauter la viande et les oignons. Lorsque les oignons sont bien dorés, réduire le feu et couvrir pendant quelques minutes.

2/ Ajouter tous les autres ingrédients sauf la pâte d'arachides et l'eau.

3/ Couvrir et laisser mijoter une trentaine de minutes, jusqu'à ce que les légumes soient bien tendres. On peut ajouter de l'eau si le mélange devient complètement sec pour éviter que la préparation n'accroche au fond de la casserole.

4/ Réduire le feu et ajouter le beurre de cacahuètes.

5/ Bien remuer pour répartir la pâte d'arachides.

6/ Ajouter de l'eau jusqu'à obtenir une sauce onctueuse. On peut, à la place de l'eau, utiliser un bouillon préparé par exemple avec un cube Maggi.

7/ Laisser mijoter quelques minutes, et servir de préférence avec du riz.

Porteuse de coupe Luba II


De face



De profil



De dos

Vacances au Lavandou


La plage de Saint-Clair



Moi



Nico, auvergnat style, et Olivier



A Bormes-les-Mimosas



Une sirène échouée (qui a dit "baleine" !?!)



Mon frère et moi



La chapelle de Saint-Clair



Feux d'artifice le 15 août


Depuis que je suis petit, on passe souvent nos étés à Saint-Clair (le Lavandou): On y a en effet un petit appart' pas trop loin de la plage.
Cet été, boulot oblige, ça ne sera que pour une petite semaine, autour du 15 août, avec mes parents et mon frère Olivier.
J'ai aussi invité Nicolas, qui m'avait acceuilli à la Réunion au mois de juillet.
On a pu retravailler les fondamentaux, moins les strings, le rhum (sauf au bora-bora et ses cocktails à 10 €), et la salle de sport.
Bon, d'accord, il ne reste plus grand chose, à part le soleil et la plage.
Disons que c'etait un séjour plutôt familial. D'ailleurs, il faut dire que le Lavandou, c'est plutot une station balnéaire familiale. Nicolas ne me contredira pas sur ce point là.
Mais bon, on s'est quand même bien amusé. Le séjour a été ponctué par de magnifiques empoignades aux boules (comprenez qu'on a joué à la pétanque tous les soirs), au cours desquelles la tension était vraiment palpable.
Moi que l'on surnommait le "sniper", j'étais plutôt à cours de munition, j'ai donc laisser mon père, plus expérimenté, tirer. En face, une fois n'est pas coutume, Nicolas pointait (avec son piercing au téton, c'etait quelque chose) tandis que mon frère se faisait un devoir de dégager les boules de son partenaire plutôt que les nôtres.
Les parties étaient très serrées... Heureusement que je ne sens pas la pression, sinon, c'était la défaite assurée. J'ai gagné au cours de ces vacances sportives un nouveau surnom : "Nicolas les Melons".
Autre fait marquant du séjour, l'escapade à Saint-Tropez, fidèle à sa réputation : yatchs magnifiques, belles voitures (tous les modèles Ferrari possible, certains avec des A au cul, une Lamborghini, une Aston Martin Vanquish, des Porsche etc.) et bien sûr, très jolies filles.
Là-bas on a pris un verre au Loco Zen, en face du Papagayo : 26 € à trois (8 € la pression - non, pas la pinte, le 1/2 -, 10 € la Smirnoff Ice...).
Sinon, pas trop vu de stars, mais bon, on n'est pas allé Place des Lices : Nicolas avait lancé un contrat sur Jean-Michel Aulas depuis qu'il l'avait vu dans le Var Matin jouer au boules là-bas : on a voulu éviter le carnage...
Autre sortie inoubliable : Bormes-les-Mimosas, et son village provençal perché sur la colline : toujours aussi magnifique. Je connais une veinarde "dao Brasil" qui y a passé 15 jours en juillet-août : quel pied !

mardi 8 août 2006

Le poulet Coco


La cuisine au feu de bois, y a que ça de vrai...



Un bon poulet coco à la Réunionnaise


Ingrédients pour 8 personnes :

- 1 poulet de 2kg
- 3 gros oignons
- 4 petites tomates bien mures
- 6 gousses d'ails
- 2 boites de lait coco (33 cl)
- un clou de girofle
- sel
- poivre noir en grains
- noix de muscade
- 2 cuil. à café de safran
- 6 cuil. à soupe d'huile.
- 8 verres de riz

Préparation : 25mn

1/ Préparez les différents ingrédients : émincez les oignons, coupez les tomates en dés, pilez l'ail avec le clou de girofle, le sel et les grains de poivre. Découpez le poulet en 10 morceaux.

2/ Faites chauffer l'huile et laissez bien dorer les morceaux de poulet à feux moyen. Puis incorporez les oignons.

3/ Une fois bien roux ajoutez le safran, la noix de muscade, les épices pilées puis les tomates.

4/ Mouillez alors avec le lait de coco.

5/ Couvrez la marmite et laissez réduire 40 mn environ à feu moyen jusqu'à l'obtention d'une sauce onctueuse.

6/ Servir avec du riz (astuce : on peut ajouter du lait de coco dans l'eau du riz)

Le Forró


"Embrasser amoureusement" (Xamegar) : c'est ça le forró



Bal forró au brésil


Le forró est une musique traditionnelle de la région Nordeste du Brésil. C'est aussi le nom de la danse qui l'accompagne.

La musique

Les instruments traditionnels du forró sont le triangle, l'accordéon et le zabumba (gros tambour plat), parfois accompagnés d'un pandeiro (sorte de tambourin). La musique est presque toujours accompagnée par le chant des musiciens.

La plupart du temps, les chansons parlent d'amour, le forró étant une forme musicale entraînante et gaie, sur un tempo relativement rapide.

De nombreux orchestres de forró se produisent un peu partout dans le Nordeste brésilien, mais cette musique est également une tradition populaire que l'on voit jouée par des groupes improvisés durant le carnaval par exemple.

Ce genre musical provient d'un mélange du tambour indien des précolombiens et de l'accordéon des colons européens. Il se rapproche d'autres formes musicales comme les duels verbaux occitans, dont les versions modernes se sont enrichies par la suite, comme en témoignent quelques compositions des Fabulous Trobadors du sud-ouest français.

Luiz Gonzaga est le compositeur le plus important de ce genre de musique et on peut dire que c’est lui, surnommé le roi du baião, qui a créé le forró dans les années 40. En tout cas c’est lui qui a popularisé et même immortalisé bon nombre des musiques du nord-est.

Après, dans les 70, d’autres artistes ont adapté ces rythmes, comme Dominguinhos et Sivuca (avec leurs accordéons), Alceu Valença, Geraldo Azevedo, Elba et Zé Ramalho et les tropicalistes.

Il existe aujourd’hui un nombre énorme de groupes de forró : Falamansa, Rastapé, Baiao d4, Mastruz com leite entre autres.

La danse

Le forró est à la base une danse de couple, mais peut également se danser en ronde.

Le pas de danse est relativement simple : deux pas à gauche, deux pas à droite. Le cavalier donne l'impulsion à sa partenaire, et peut faire décrire au couple des virages parmi les autres couples de danseurs.

Le pas peut être posé, mais il est plus fréquemment sautillant quand on le voit dansé par des couples expérimentés au Brésil.

Où danser le forró à Paris ?

Los Mexicanos, le lundi soir : 10, Rue Papillon 75009 Paris
Le Play Lounge, le jeudi soir : 12 rue Frochot 75009 Paris
Le Babalu, le samedi soir : 8 passage Thiéré 75011 Paris

sources : Wikipedia,Divergence FM,Le Monde.fr

mardi 1 août 2006

L'effet péi


Vagues à Boucan Canot



Coucher de soleil à Boucan



Thierry et Julien



Olivier



Le port de St-Gilles



Karenn et Nico



Guillaume, Julien et moi



Mélanie et moi




Coucher de soleil sur l'Hermitage


Le CocoBeach


La Réunion... On s'y sent bien, croyez moi.
Je reviens tout juste de 2 semaine et 1/2 là bas et j'ai déjà envie d'y retourner.
En tout cas plus souvent. Ca faisait quand même 6 ans que je n'y avais plus mis les pieds.

J'ai trouvé que rien n'avait changé. En tout cas, pas les fondamentaux :
-le string-topless à Boucan Canot (aussi appelé monokini)
-les parties de raquette sur la plage
-les bouteilles de Rhum qui s'accumulent sur notre table au Cubana (avant c'était au PussyCat ou au Circus mais bon, c'est pareil y a que le nom qui change)

Au programme de ces vacances : plage, soirée, plage, soirée, plage, salle de sport, plage, salle de sport, soirée, plage, etc.
Ca n'a pas l'air comme ça, mais c'est super crevant...

Pourtant, tout aurait pu tourner au cauchemar dès le premier soir, lorsqu'un connard de Réunionnais a perdu le contrôle de sa voiture (il avait 1g dans le sang) et a percuté le camion bar qui se trouvait devant l'Africa Queen (une boîte de nuit de St Gilles), où j'etais négligeamment en train de commander un sandwich avec mon pote Bastien, en emportant tel un tsunami toutes les motos et les scooters qui etaient garées devant la boite.
Un miracle qu'il n'y ait pas eu de mort ni plus de blessés (un seul gars a été assez serieusement blessé à la cheville).
Pour ma part, je n'ai pas trop compris ce qui m'arrivait.
Je dois avouer que je n'étais pas très net non plus, mais bon je n'étais pas au volant d'une putain de 206 moi (encore heureux, je n'ai pas le permis)...
Bref, je me suis senti emporté par une vague et je me suis vu tomber sur le trottoir, sans trop savoir ce qui m'avait percuté (une moto ? Un mec qui reculait ?), en recevant une giglée de ce que j'ai d'abord pris pour du sang, mais qui qui s'est avéré n'être en fait que du ketchup et de la mayonnaise. Au passage, mon pantalon Hugo Boss à 150 € a moyennement apprecié (ça, c'est mon passage Pat Bateman).
Dès le lendemain, on était de retour à l'Africa Queen (on va pas se laisser emmerder...)

Quoi d'autre sinon ?
- Une soirée au Privé, assez decevante il faut l'avouer, mais après un super bon sauté mines préparé par Julien et dégusté entre mâles (Ju, Olivier, Thierry, Guillaume, Nico et moi) devant quelques combats de Pride...
- Un Barbecue chez Thierry, qui aurait pu se terminer au Zaza Club à Saint Pierre (si tout le monde avait pu venir et si ça n'était pas aussi loin).
- Une sortie en Bateau pour voir les dauphins (qui nous ont boudés mais c'etait sympa quand même...)
- Des Coktails au CocoBeach (un resto de l'Hermitage) au coucher du soleil (inoubliable, vraiment)...
- Une plongée exceptionnelle à la Cheminée (sud de Boucan). Ma première (en bouteilles) depuis 4 ans. Camille, une fille de là-bas, m'a confié que c'était en plongée qu'elle avait le plus de sensations (en tout cas, par rapport au parapente). Je crois que je suis assez d'accord avec elle. La plongée, c'est vraiment quelque chose de spécial...
Revenons à notre cheminée... C'est en fait un passage entre les coraux par lequel on remonte après être descendu à 25 mètres de profondeur et être passé sous les rochers.
En sortant de là, j'ai vu une murène, puis en levant la tête, une tortue qui nageait entre deux eaux. Un spectable vraiment exceptionnel : j'avais l'impression que le temps s'etait arreté tandis que la tortue déployait paisiblement ses nageoires et volait un peu plus loin au dessus de moi.
Sinon j'ai aussi vu un banc de seiches, quelques rascasses volantes tapies sur le sable près des rochers, et toutes sortes de poissons peuplant l'Océan indien : poissons trompettes, papillons, chirurgiens, perroquets, diodons, etc. Mais pas de mérou !
Le soir, petite reception pour l'anniversaire d'un copain de Thierry, Laurent, en terrasse s'il vous plait, dans un restaurant près de la Saline.
Une soirée dont je me souviendrai assez longtemps je pense, et que l'on a poursuivi au Cubana (avec un petit passage au Jungle) : une vraie sortie d'artiste comme dirait Nicolas. Le départ, le lendemain n'en a été que plus cruel...

Merci à Nico, Julien & Mélanie pour m'avoir accueilli chez eux : c'était vraiment top. Merci aussi à tous les autres (Olivier et son zouk diabolique, Thierry, Guillaume, Bastien, Karenn, Julie, Cristelle, Claudia, etc.), pour tous les bons moments qu'on a passés ensembles...